«Si Sarko passe, j’me casse».
Il l’avait promis, c’est donc depuis New York que Yannick Noah livre une interview au Parisien. Il y affirme qu’il ne veut pas reprendre l’équipe de France de Coupe Davis – «Je ne vais pas piquer la place de mon pote Guy Forget» -, mais il s’en donne surtout à cœur joie contre l’engagement politique d’un autre sportif. «Le cirage de pompes ne m’attire pas, assure-t-il. Je laisse ça à David Douillet, qui m’a taclé gratuitement il y a quelques jours.
Il trouve pathétique que le tennis français en soit encore à célébrer ma victoire à Roland Garros. Je me suis dit: ‘Il est en confiance, il a son équipe, il a sa cour’.» Apparemment, Noah n’a pas perdu son service-volée.
Il trouve pathétique que le tennis français en soit encore à célébrer ma victoire à Roland Garros. Je me suis dit: ‘Il est en confiance, il a son équipe, il a sa cour’.» Apparemment, Noah n’a pas perdu son service-volée.
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