Quelque 5.000 personnes, selon la préfecture de la Guadeloupe, 25.000 selon des dirigeants du LKP, ont manifesté sans incident samedi à Pointe-à-Pitre à l'appel du collectif qui a lancé à cette occasion un préavis de grève de 24 heures reconductible.
Les manifestants ont effectué un parcours de plusieurs kilomètres en empruntant les principaux boulevards de Pointe-à-Pitre avant de se retrouver, deux heures plus tard, à leur point de départ, le Palais de la mutualité, où siège le LKP (Lyiannaj kont pwofitasyon).
Les principaux dirigeants du collectif ont tour à tour pris la parole. Selon Jean-Marie Nomertin, un des leaders du LKP et dirigeant de la CGT-G, "nous étions au moins 25.000".
Elie Domota, le porte-parole du collectif et dirigeant du principal syndicat insulaire, l'UGTG (indépendantiste), a appelé à "renforcer la mobilisation". "Nous aurons à arrêter le travail pour qu'ils comprennent que nous ne plaisantons pas", a-t-il averti.
"Nous demandons un débat télévisé en direct avec Mme Penchard", la secrétaire d'Etat chargée de l'Outre-mer, pour qu'elle nous réponde sur l'application du protocole d'accord" du 4 mars, qui avait mis fin à la crise sociale en Guadeloupe, a-t-il poursuivi.
"Elle pourra amener sa mère", Lucette Michaux-Chevry, sénateur-maire UMP de Basse-Terre, ancien ministre et ancien président de la Région, a ajouté M. Domota en suscitant les rires de son auditoire.
Les organisations syndicales membres du LKP ont lancé à cette occasion un préavis de grève de 24 heures reconductible, à compter de ce samedi.
Le texte de ce préavis revendique notamment "l'annulation de l'augmentation du prix de l'essence" de 6 centimes intervenue mi-septembre, "la mise en place d'un plan d'urgence pour l'emploi, l'insertion et la formation professionnelle", "la revalorisation des minima sociaux et de l'allocation pour les personnes handicapées", "le respect des accords sur la baisse des prix", "la titularisation de tous les précaires du public et du privé".
S'y ajoute "la reprise des négociations sur les 146 points de la plate-forme de revendications du LKP", qui avait servi de base à la grève générale qui s'était achevée par un accord signé le 4 mars.
Les manifestants ont effectué un parcours de plusieurs kilomètres en empruntant les principaux boulevards de Pointe-à-Pitre avant de se retrouver, deux heures plus tard, à leur point de départ, le Palais de la mutualité, où siège le LKP (Lyiannaj kont pwofitasyon).
Les principaux dirigeants du collectif ont tour à tour pris la parole. Selon Jean-Marie Nomertin, un des leaders du LKP et dirigeant de la CGT-G, "nous étions au moins 25.000".
Elie Domota, le porte-parole du collectif et dirigeant du principal syndicat insulaire, l'UGTG (indépendantiste), a appelé à "renforcer la mobilisation". "Nous aurons à arrêter le travail pour qu'ils comprennent que nous ne plaisantons pas", a-t-il averti.
"Nous demandons un débat télévisé en direct avec Mme Penchard", la secrétaire d'Etat chargée de l'Outre-mer, pour qu'elle nous réponde sur l'application du protocole d'accord" du 4 mars, qui avait mis fin à la crise sociale en Guadeloupe, a-t-il poursuivi.
"Elle pourra amener sa mère", Lucette Michaux-Chevry, sénateur-maire UMP de Basse-Terre, ancien ministre et ancien président de la Région, a ajouté M. Domota en suscitant les rires de son auditoire.
Les organisations syndicales membres du LKP ont lancé à cette occasion un préavis de grève de 24 heures reconductible, à compter de ce samedi.
Le texte de ce préavis revendique notamment "l'annulation de l'augmentation du prix de l'essence" de 6 centimes intervenue mi-septembre, "la mise en place d'un plan d'urgence pour l'emploi, l'insertion et la formation professionnelle", "la revalorisation des minima sociaux et de l'allocation pour les personnes handicapées", "le respect des accords sur la baisse des prix", "la titularisation de tous les précaires du public et du privé".
S'y ajoute "la reprise des négociations sur les 146 points de la plate-forme de revendications du LKP", qui avait servi de base à la grève générale qui s'était achevée par un accord signé le 4 mars.
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